Rentrée scolaire
Les vacances sont presque finies. Moi, voila déjà quelques temps que j'ai repris le travail, mais avec un fonctionnement vacancier, ailleurs que sur mon lieu habituel. Mais il y a quelques jours, c'était la réunion de rentrée, comme chez les professeurs. Au programme, les changements de groupe d'éducateurs et d'enfants, l'accueil des nouveaux éducs, et surtout, les admissions de nouveaux enfants. Sur 5 admissions, il y en a trois pour notre groupe. Cela laissait présager beaucoup de travail en perssective pour la réouverture, mais je n'en imaginais pas tant.
Samedi matin, c'est moi qui travaille. Je suis donc chargée de préparer le groupe pour l'accueil des enfants. Cela veut dire vider les sacs de voyage des colonies de vacances, préparer les lits, vider les armoires des enfants qui ne sont pas là (retour en famille, ou changement de groupe), veiller à ce que le frigo ait ce qu'il faut pour nourrir tout le monde,... Le tout avec deux enfants qui ne rentrent pas chez eux le week-end. Ce ne sont que deux enfants! me direz-vous. Oui et non vous répondrais-je: ils ne sont que deux, mais j'ai eu l'impression qu'ils étaient au moins 5, profitant du fait que j'étais très occupée pour déménager à leur façon le groupe: les jouets partout, je me suis même prise les pieds dedans plus d'une fois, ne voyant pas où je marchais à cause des caisses pleines de vêtements que je transportais.
A la fin de ma journée, j'ai eu l'horrible impression de n'avoir rien fait. Entre les deux loustics qu'il a fallu que je calme plusieurs fois, les 8 armoires à ranger dans d'autres armoires de veêements, les 8 lits à faire (au passage, les lits superposés, c'est une plaie!), l'inversion de la chambre des filles et de celles des garçons (donc inversion de tous les jouets), la créations d'étiquettes au nom de chacun en 7 exemplaire, pour les placer dans les lieux clés, les commandes à passer à la cuisine,... Tout cela sans compter sur le fait qu'il a quand même fallu s'arrêter pour manger vers midi. Je voulais faire pleins d'autres choses qui étaient également necessaire, mais je n'en ai pas du tout eu le temps.
L'éducatrice venue me relayer l'après midi (je l'appelle secretement Super-C, je vous expliquerais un jour pourquoi), a semblé trouver que j'ai fait beaucoup dans la matinée, mais moi, je ne suis pas satisfaite. Y'a tellement à faire, et ce n'était pas un cadeau du tout de lui laisser un groupe dans l'état dans lequel elle l'a trouvé: des vêtements inconnus posés partout, du linge de groupe qui traine parce que je sais pas où je pourrais le caser, mes étiquettes, pas finies d'accrocher, qui étaient posées un peu partout dans la salle de bain et la salle de jeux,...
Bref, bon courrage chères collègues qui travaillez ce reste de week-end!
Samedi matin, c'est moi qui travaille. Je suis donc chargée de préparer le groupe pour l'accueil des enfants. Cela veut dire vider les sacs de voyage des colonies de vacances, préparer les lits, vider les armoires des enfants qui ne sont pas là (retour en famille, ou changement de groupe), veiller à ce que le frigo ait ce qu'il faut pour nourrir tout le monde,... Le tout avec deux enfants qui ne rentrent pas chez eux le week-end. Ce ne sont que deux enfants! me direz-vous. Oui et non vous répondrais-je: ils ne sont que deux, mais j'ai eu l'impression qu'ils étaient au moins 5, profitant du fait que j'étais très occupée pour déménager à leur façon le groupe: les jouets partout, je me suis même prise les pieds dedans plus d'une fois, ne voyant pas où je marchais à cause des caisses pleines de vêtements que je transportais.
A la fin de ma journée, j'ai eu l'horrible impression de n'avoir rien fait. Entre les deux loustics qu'il a fallu que je calme plusieurs fois, les 8 armoires à ranger dans d'autres armoires de veêements, les 8 lits à faire (au passage, les lits superposés, c'est une plaie!), l'inversion de la chambre des filles et de celles des garçons (donc inversion de tous les jouets), la créations d'étiquettes au nom de chacun en 7 exemplaire, pour les placer dans les lieux clés, les commandes à passer à la cuisine,... Tout cela sans compter sur le fait qu'il a quand même fallu s'arrêter pour manger vers midi. Je voulais faire pleins d'autres choses qui étaient également necessaire, mais je n'en ai pas du tout eu le temps.
L'éducatrice venue me relayer l'après midi (je l'appelle secretement Super-C, je vous expliquerais un jour pourquoi), a semblé trouver que j'ai fait beaucoup dans la matinée, mais moi, je ne suis pas satisfaite. Y'a tellement à faire, et ce n'était pas un cadeau du tout de lui laisser un groupe dans l'état dans lequel elle l'a trouvé: des vêtements inconnus posés partout, du linge de groupe qui traine parce que je sais pas où je pourrais le caser, mes étiquettes, pas finies d'accrocher, qui étaient posées un peu partout dans la salle de bain et la salle de jeux,...
Bref, bon courrage chères collègues qui travaillez ce reste de week-end!